Les chaos du vieux van... La chaleur moite du soleil, les écharpes de brumes sur le mont Liban. Le vent qui me bat le visage. Moi qui boit, dévore le paysage vallonné qui m'entoure. La musique, les rires. Charlie qui lâche le volant dans un grand éclat de rire. Pauline et moi : "La route !!" Les voitures grisées de vitesse. Mes amis m'entourent, le pays m'envoûte.
La guerre, cachée dans les ruines, dans les souvenirs, dans ces barrages militaires me fait un signe furtif. Je lui lance un regard noir, lui impose le silence. Elle est finie, elle n'a plus rien à faire ici. A part se taire, disparaitre. Les laisser en paix.
Beyrouth, elle, en profite. Elle se rit de tout, et surtout elle vit !
Je me penche à nouveau, le vent chaud me saisit. Il me souffle à l'oreille un mot, simple : Liberté
Marmaille
Une gamine, rien qu'une gamine
Marmaille
Une gamine, rien qu'une gamine
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Mercredi 7 avril 2010Dernière mise à jour
Jeudi 31 mai 2012Dossiers poussiéreux
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Samedi 28 août 2010 à 22:23
« Plaisanter en face du danger, c'est la suprême politesse, un délicat refus de se prendre au tragique ; le panache est alors la pudeur de l'héroïsme, comme un sourire par lequel on s'excuse d'être sublime.
(Edmond Rostand)
Lorsqu'on n'a pas de vie véritable, on la remplace par des mirages.
(Anton Tchekhov) »
(Edmond Rostand)
Lorsqu'on n'a pas de vie véritable, on la remplace par des mirages.
(Anton Tchekhov) »
Défouloir pour gens aimables
- masajistas : masajistas
- charln : http://short-edition.com/oeuvre/strips/manger-bouffer-1
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